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Physique Harmonique.


Mises à jours

20/11/2016 :

Les physiciens s'évertuent à essayer de calquer la gravitation sur les autres forces avec des particules de transfert.

Mais il faut faire le contraire, voir les autres forces comme déformation de l'Espace.

Tout est affaire de géométrie.

Voici quelques idées sur la Physique et l'Univers.

INTRODUCTION. INTERACTION.INDUCTION.

Ce que l'on observe ou expérimente en un point P à un instant T s'est-il réalisé, se réalise ou se réalisera partout dans les mêmes conditions en un autre point P ' et/ou à un autre instant T ' ?

Cette question est centrale pour la compréhension de la Réalité.

Par ailleurs, l'observation de mêmes conditions ne garantit pas que ces conditions soient identiques dans une Réalité plus vaste. Une expérience locale qui confirme ou infirme une hypothèse peut-elle conduire à l'élaboration d'une Théorie valide en tout point et en tout instant ? Ainsi, l'affirmation qui dit que la Terre tourne autour du Soleil n'est pas vraie dans le lointain passé et ne sera plus vraie dans le lointain futur. Ainsi, il est hasardeux de prendre comme élément de Vérité ou Axiome d'une Théorie, un phénomène qui se réalise à chaque fois mais dans un intervalle d'espace et/ou de temps limités.

Lorsque l'on demande de montrer dans quelle direction se trouve notre étoile Soleil, cela semble être une question facile mais c'est un piège car le Soleil ne se trouve plus où il semble être.

Nous n'avons que les photons qu'il a émis environ 8 minutes plus tôt. Et encore, ce ne sont pas nécessairement les photons qu'il a émis mais ceux résultant des nombreuses interactions que les photons initiaux ont eu avec des particules durant le voyage comme celles composant notre atmosphère....etc....la physique est proche de la philosophie.

La célèbre peinture suivante exprime aussi cela et peut exprimer encore plus de choses :

Mais peut-être que cela deviendrait une pipe le jour où l'on décidera que la représentation d'une pipe se nomme également une pipe. Mais alors, on pourrait aussi dire que ce qui nous semble être une phrase écrite sur ce tableau de Magritte n'est que de la peinture qui n'a pas de sens et encore moins celui de dire que la forme peinte au-dessus n'est pas la représentation d'une pipe....

A moins que le "Ceci n'est pas une pipe" soit une phrase auto-référentielle tout comme la proposition P de Gödel : "P n'est pas démontrable" qui est la clé de son théorème d'incomplétude...

Tiens donc ? Et si la Physique était elle aussi suffisamment riche (comme la toute simple arithmétique de Peano) pour ne pas admettre de théorie complète ?????

Mais alors ? Quelle horreur ! Quelle erreur ! Les physiciens en seraient donc venus à confondre leurs théories avec l'objet de leurs théories.

Les physiciens seraient alors piégés dans cette mythique caverne de Platon croyant que les ombres sont les objets. Sortez-vite de là !

Identifier le Réél avec la représentation du Réél...ce serait réducteur et même dangereux.

Essayez donc de fumer la pipe du tableau de Magritte !

Et encore plus difficile !

Essayez donc de ne pas fumer la non-pipe du tableau de Magritte !

La psychanalyse a fait les mêmes erreurs et elle a changé les gens de manière à ce qu'ils soient conformes à ses "grandes théories".

L'économie a fait les mêmes erreurs et elle a changé le monde de manière à ce qu'il suive ses modèles linéaires prédictibles.

<<Ceci n'est pas une mise en garde !.>>

LES GROS MAUX DE LA PHYSIQUE MODERNE.

Certains aspects de la Physique Moderne devraient bien faire rire aux éclats Albert Einstein et les autres grands physiciens de cette époque bénie des années 1930.

On fabrique de gigantesques machines qui coûtent des milliards et consomment des Giga Watt d'électricité pour rechercher de nouvelles particules. Eureka !

C'est comme si les mathématiciens cherchaient avec des myriades de très puissants ordinateurs à trouver un nombre entier plus grand que 10^30.

Car ils se poseraient la question cruciale de savoir si oui ou non tout nombre entier est "standard" c'est-à-dire plus petit que 10^30.

<<Nous en sommes arrivés à 10^21 après 15 ans de coûteux calculs et la réponse semble toujours être : oui, les nombres sont standards>>

En physique moderne, cela ressemble à une telle quête irréaliste. Mais cela pourrait s'avérer être bien plus coûteux, long, difficile et même dangereux.

En effet, depuis Einstein on sait que plus l'énergie des collisions sera grande, plus massives seront les particules produites (et la réponse est là d'ailleurs).

A ce rythme, ces physiciens vont bien finir par produire des particules si massives qu'en s'écroulant sur elles-mêmes formeront des trous noirs auto-alimentés !

Au lieu de dépenser des milliards en accélérateurs divers et variés, les physiciens devraient en revenir à acheter des stylos pour faire des dessins comme le faisait Albert.

PROJECTION.

Ce que l'on observe est la projection de la Réalité sur notre espace observable à 4 dimensions.

Cette Réalité pourrait exister dans un Espace bien plus vaste et riche de beaucoup plus de dimensions.

Le fait d'avoir des sens pour observer un espace tridimensionnel n'implique en rien que la Réalité soit tridimensionnelle.

Ce serait comme si le fait d'avoir 10 doigts signifie que seuls les nombres de 0 à 10 existent et aucun autre nombre supérieur.

Il est plus probable que le fait de posséder 10 doigts signifie que la Réalité soit alors dans un espace à 10 dimensions que 11 n'existe pas

Pour imager cela, nous serions comme des êtres évoluant sur une feuille de papier et qui n'observent que les événements se produisant sur cette feuille.

Ils constateraient avec surprise et incompréhension les traces produites sur cette feuille par des phénomènes provenant de l'extérieur comme le trait produit par un stylo.

LA LUMIERE.

Les photons sont émis par les atomes (ou plus précisément par leurs particules plus élémentaires comme les électrons) qui changent d'état d'énergie. Un rayon lumineux observé n'est pas nécessairement constitué des photons émis par la source. Un photon observé peut avoir été émis par un atome qui a reçu un photon qui lui même a été émis par un atome qui a reçu un photon etc....qui a été émis par un atome de la source. Ceci pouvant se produire un nombre gigantesque de fois. C'est ce qui se passe pour les photons émis du Soleil qui interagissent avec les atomes de l'Espace entre le Soleil et la Terre ou avec ceux de notre atmosphère terrestre. Il en est de même des photons émis par les galaxies lointaines. De plus un atome recevant un photon ayant une certaine longueur d'onde peut émettre un nouveau photon avec une longueur d'onde différente. De même, la direction du nouveau photon émis peut être différente de celle du photon reçu.

Les expériences réalisées sur la lumière, comme celle de Michelson et Morley, utilisent des miroirs où un miroir est une surface plane ou un simple atome ou une simple particule comme un électron. Ces expériences ne prennent pas du tout en compte le phénomène de réflexion de la lumière sur ces miroirs. Une réflexion spéculaire d’un photon incident à un miroir est en fait le résultat d’une “réaction en chaîne” composée d’un grand nombre d’absorptions de photons et d’émissions de nouveaux photons (ou d’une seule avec par exemple un électron miroir) avec au final une grande probabilité que le photon incident et le photon émis (le terme réfléchi ne convient pas puisque ce n’est plus le même photon) soient dans le même plan d’incidence et respecte la règle de l’angle d’incidence par rapport à la normale au point d’incidence. Mais, ce qui est gênant, c’est que la durée de toutes ces réactions au niveau atomique du miroir ne soit pas prise en compte. On peut très bien supposer que ce temps dépend de la structure atomique du miroir et de l’angle d’incidence et même du moment où a lieu cette expérience. Faire une démonstration expérimentale d’inégalités dans ces conditions semble quelque peu hardi…



AXIOMATISATION DU TEMPS.

La vitesse de la lumière est considérée comme constante dans le vide et ne dépend pas de la vitesse relative de l'objet et de ses atomes qui ont émis ces photons. La théorie d'Einstein prend ce fait comme postulat. Mais au lieu de postuler cela, on peut aussi essayer de l'expliquer. On peut imaginer qu'une particule qui émet un photon réalise cette action en prenant un temps T° et qu'aucun événement de la Réalité observable ne se réalise en un temps inférieur à T°. Définissons ce temps T° comme unité élémentaire du Temps. Ainsi, la particule qui émet un photon peut être considérée comme immobile à l'instant où elle l'émet. Si bien que la vitesse du photon émis ne dépend pas de la vitesse relative de cette particule.

Ainsi, la Théorie de la Relativité conduit à une Théorie Quantique de la Physique. C'est une piste pour unifier ces deux théories…...

SYNCHRONISATION.

Cette notion de temps élémentaire T° n'implique absolument pas que le temps soit synchrone partout. Et c'est cela qui peut créer la richesse de l'Univers. Les évènements ne se produisent pas en suivant une horloge commune. Cela semble complètement impensable. Le décalage entre les temps relatifs permet d'engendrer de nouvelles particules et de nouveaux phénomènes comme des vagues ondulant à des fréquences différentes et non multiples l'une de l'autre. Cela produit de nouvelles formes de vagues et des interférences. La naissance de l'Univers pourrait s'expliquer par une telle interaction asynchrone.


LA GRAVITATION.

Pourquoi "LA" gravitation...pourquoi pas "LES" gravitations.

La matière se concentre en amas de matières par effet de la Gravitation. Mais qu'est ce que la Gravitation ? Une force qui semble agir à une vitesse infinie.

Albert Einstein l'explique par une déformation de l'Espace autour des masses. Mais cela déplace la question de la Gravitation vers une dimension supplémentaire comme le Temps.

On peut aussi imaginer que ce soit vers une autre dimension spatiale. Ainsi, une particule de masse non nulle déplacerait des points de notre Espace tri-dimensionnel vers une ou plusieurs autres dimensions. Albert Einstein (toujours lui) a envisagé la Gravitation comme provoquant une courbure de l’Espace-Temps par les corps ayant une masse non nulle. Ainsi, si on représente l’Espace comme un maillage à deux dimensions, le poids d’un objet massif déforme ce maillage “VERS LE BAS” en lui donnant une courbure.

DIMENSIONS.

Cette direction “VERS LE BAS” est supposée orthogonale au maillage de cet espace bidimensionnel ou du moins le vecteur de cette direction n’appartient pas à ce plan. En revenant à notre espace tridimensionnel, cette direction “VERS LE BAS” est définie avec une quatrième dimension. Celle-ci pouvant être le Temps ou alors une nouvelle dimension spatiale ou temporelle ou spatio-temporelle. Par ailleurs, Einstein trouvait gênant que la “force” gravitationnelle agisse instantanément, c’est-à-dire à une vitesse infinie. Ceci lui semblait être en contradiction avec le postulat des vitesses limitées par C. Or, si l’Espace se déforme sous l’effet des masses, on peut considérer que l’action d’une masse sur une autre ne se réalise que par cette déformation de l’Espace sans qu’il y ait besoin de considérer une force exercée via une hypothétique particule. Alors...

1) Cette dimension supplémentaire est-elle le Temps ?

2) Pourquoi voudrait-on définir “forcément” la Gravitation comme une action via une force ? 3) Comment une masse courbe-t-elle l’Espace ?

Les réponses les plus simples : la Gravitation est bien un effet de la courbure de l’Espace. Mais cette courbure semble déplacer la question de la Gravitation vers une autre Gravitation qui impliquerait une autre dimension que celles de notre espace tridimensionnel. Puisque Masse ==> Courbure, on peut aussi penser que Courbure ==> Masse et qu’en fait une masse n’est autre que de l’Espace qui s’est contracté. Avec l’image du maillage précédent, une masse serait similaire à un emmêlement, un chiffonnement localisé des mailles de l’Espace. Et si toutes les particules massives n’étaient que de l’espace déformé, emmêlé alors la Gravitation en serait une conséquence directe et s’exercerait sans l’action d’une force ou via une particule et à vitesse infinie ou plutôt sans vitesse du tout. Si non, c’est plus compliqué et ce n'est pas certain que “Dieu” ait voulu se compliquer la tâche de création.

Souvent en maths, c’est l’approche la plus simple qui aboutit…. Pourquoi ne serait-ce pas le cas en physique ?


LES AUTRES FORCES.

En reprenant l’image de la projection de l’Univers muni d’un maillage, un photon serait une vibration (une ondulation) d’une maille.

En reprenant l’intuition que les particules sont des “pelotes de mailles”, lorsqu’un photon (vibration) atteint cette “pelote” quatre cas sont possibles. Pour le photon : 1) soit il est absorbé par la “pelote” 2) soit il traverse la “pelote” le long de ses “fils” avec de possibles interactions qui peuvent modifier ses états comme sa fréquence, son énergie, son spin. Pour la “pelote” : a) soit sa structure n’est pas modifiée et la “particule” associée est invariante. b) soit sa structure est modifiée et la “particule” associée est modifiée et donne naissance à une (ou des) nouvelle(s) “pelotes” (particules)

Les quatre cas sont : 1a,1b,2a,2b.

FORCES HARMONIQUES.

Les interactions entre particules sont similaires en considérant que leurs “pelotes” se combinent.

Pour ce qui est des “forces” qui agissent sur ces “pelotes” particules, tout devient affaire de géométrie de l’espace.

Un photon peut changer de fréquence et/ou de trajectoire car une particule “pelote” est un enchevêtrement de mailles de tous les “fils” issus de l’espace bordant la “pelote”.

Ainsi, une vibration d’un “fil” peut faire vibrer un autre “fil” et ceci avec la même fréquence ou avec une fréquence différente.

Cette dernière remarque est triviale du genre : (P) ou (non P) où P est dans {vrai, faux}. Mais la théorie de “Dieu” est-elle basée sur le Principe du Tiers Exclu ?

Les scientifiques espèrent que c'est le cas, ou espèrent que ce n’est pas le cas, ou n’espèrent pas que c’est le cas, ou n’espèrent pas que ce n’est pas le cas….

Les physiciens s'évertuent à essayer de calquer la gravitation sur les autres forces avec des particules de transfert.

Mais il faut faire le contraire, voir les autres forces comme déformation de l'Espace.

Tout est affaire de géométrie.


FRACTALES.

Les phénomènes de petites échelles peuvent se produire à plus grande échelle et inversement.

La Terre s'est formée par concentration de poussières de matières, d'amas de matières, d'amas d'amas de matières etc...autant solides que gazeux. Cette différence entre états de la matière est une question de structure. On constate que la matière se concentre en structures plus complexes. Ainsi, notre Univers est formé d'amas de matières de plus en plus structurés comme des îles dans un océan. Les étoiles se sont formées de la même manière. Les systèmes étoiles/planètes, les galaxies, les amas de galaxies etc...se sont formés de la même manière.

La Terre ne s'effondre pas sur le Soleil grâce à son énergie cinétique. Il en est de même pour les systèmes d'étoiles/planètes, pour les galaxies...

Et s'il en était de même à des échelles plus petites, à toutes les échelles même infinitésimales ?

La gravitation, la relativité remplaceront les probabilités de la physique quantique.

Bien sûr que dire que tout nombre entier a une chance sur deux d'être pair.

Mais ceci n'est pas un beau théorème.


EXPANSION DE L'UNIVERS.

Voici une intuition sur l’expansion observable de l’Univers et le “décalage vers le rouge” qui donnent des insomnies aux physiciens. Cette expansion globale de l’Univers visible nous semble trop rapide par rapport à l’expansion “interne” des galaxies. D’où l’idée de rajouter de la “autre chose” (matière noire, énergie noire…) dans ces galaxies pour qu’elles ne subissent pas cette visible accélération de l’expansion globale. Einstein pensait à un Univers statique et cette idée a été abandonnée. C’est dommage car on pourrait expliquer ce décalage visible vers le rouge sans avoir à considérer une “accélération anormale” ou du moins “paradoxale” de l’expansion globale de l’Univers.



Certaines planètes possèdent une atmosphère. Les étoiles qui explosent produisent une sorte d’atmosphère composée de leurs éléments. On peut ainsi imaginer une sorte d’atmosphère galactique qui s’étend au fur et à mesure autour des galaxies et de leurs étoiles. Les photons émis par les étoiles et autres objets astronomiques qui les composent vont, avec une probabilité croissante, être absorbés et réémis (en fait c’est un nouveau photon avec une éventuelle nouvelle longueur d’onde) par des particules de cette atmosphère galactique un nombre croissant

de fois avant d’atteindre nos appareils d’observations. L’accélération paradoxale du “décalage vers le rouge” observé devient moins perturbante....

et les astrophysiciens pourraient retrouver le sommeil.

VIE et EXOPLANETES

Sur Terre, la Vie dépend de l'Eau et l'Eau dépend de la Vie.

Sans vie, il n'y a plus d'eau liquide car l'air remplacerait l'eau.

C'est sans doute ce qu'il s'est passé sur Mars et qui risque de se passer sur Terre.

LA VIE est donc essentielle pour préserver l'EAU liquide.

De ce point de vue, si on trouve une exoplanète avec

de l'eau liquide à sa surface et une atmosphère composée d'éléments plus lourds que H2O

Alors il est fort probable qu'il y ait de la Vie sur cette exoplanète..

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